Transat Jacques-Vabre

Transat Jacques-Vabre 2015

Sport Sport nautique

Fondée par la marque Jacques-Vabre, celle qu’on appelle aussi la « Route du café » est, au fil des années, devenue une institution dans son domaine.

Cette année, pour sa 12ème édition, la transat Jacques-Vabre nous réserve encore de nombreuses surprises mais en attendant, revenons sur les origines et les valeurs de cette course transatlantique.

 Les débuts de la transat

La première édition de la transat a eu lieu en 1993 en solitaire, elle partait du Havre pour arriver à Cartagena en Colombie. Ce n’est qu’en 1995 que la transat est devenue double (en équipe de 2 marins) et qu’il a été décidé qu’elle se déroulerait tous les deux ans.

La première transat voyait concourir 13 bateaux, nombre qui n’a fait qu’évoluer au cours des années. En 20 ans, ce sont 226 équipages qui ont participé à la transat, avec un record de 60 équipages en 2007.

Organisation

Transat Jacques-Vabre

Depuis ses débuts, la transat a pour point de départ le port du Havre. La ville de destination a cependant changé quelques fois, même si elle se trouve toujours en Amérique du Sud (Colombie, Costa Rica, Brésil).

Lors de la dernière édition, en 2013, pour célébrer les 20 ans de la transat, la ville d’arrivée a changé pour Itajai, au Brésil, et reste la destination pour cette édition de 2015.

Différentes catégories de bateaux peuvent participer à la transat : des monocoques (Class40 et IMOCA 60) et des multicoques (Multi50 et MOD70). Bien sûr, les monocoques concourent ensemble, de même que les multicoques, qui partent en général quelques jours après les monocoques.

Cette année le départ aura lieu le 25 Octobre.

Les valeurs de la transat

Depuis 2007, la transat Jacques-Vabre a décidé de mettre le « Cap sur le Développement Durable » et est ainsi devenue la première épreuve nautique à limiter son empreinte sur l’environnement avec l’objectif empreinte carbone 0.

Elle a ainsi reçu le parrainage officiel du ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de la Mer.

Outre sa dimension sportive, la transat s’inscrit donc aussi dans l’actualité environnementale, et on ne peut que saluer cette action !

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